phrase ironique pour se moquer de quelqu un
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façonde se moquer de quelqu'un — Solutions pour Mots fléchés et mots croisés. Recherche - Solution Recherche - Définition. Rechercher Cliquez sur un mot pour découvrir sa définition. Solution Longueur; ironie: 6 lettres: D'autres définitions intéressantes. Se moquer des Tables de la loi. se moquer. se moquer gentiment. Se moquer par derrière. Se moquer avec arrogance . se
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Lorsquevous décidez de dire à quelqu'un qu'il se comporte méchamment avec vous, vous devez donner l'impression d'être courageux et sûr de vous. Mettez vos épaules en arrière. Soulevez le menton et regardez la personne dans les yeux. Vous pouvez choisir de vous opposer à son comportement en toute confiance ou affronter la personne avec
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+7davina_jacksonJennydu78Lucieeloniemanon ze fanjenymissjusoleil11 participantsAuteurMessagemissjusoleilAccroNombre de messages 7584Age 32Localisation essonne 91Date d'inscription 31/01/2006Sujet l'espoir d'une communauté. Lun 24 Avr 2006 - 1844 J’avais besoin d’expliquer ca, j’espere que je ne vous gonflerais pas trop. Je veux vous parlez de quelqu’un qui redonne de l’espoir a ceux qui l’avaient perduJe vais en cours a longjumeau. Pas loin de mon lycée, il y a une affiche annoncant le concert de gregory lemarchal dans la ville. Et souvent, quand les lyccéens passent devant, ils sortent des phrases desagréables le concernant, qui depasse souvent le seuil de la politesse, si vous voyez ce que je veux comprend très bien que des jeunes n’aiment pas la musique de ce jeune homme. Moi je ne suis pas vraiment fan. Mais j’ai entendu des phrases blessantes concernant sa lemarchal est atteind de la mucoviscidose. Mon copain aussi. Et des centaines d’enfants, et d’adolescents atteinds de cette maladie genetique grave ont retrouvé l’espoir et le sourire grace a ce jeune mucoviscidose est une maladie qui vous cause de graves problemes respiratoires et digestifs. Il est extrèmement rare de voir une personne atteindre l’age de 50 homme donne espoir a des centaines de personnes qui combatent chaque jour cette maladie. Il est très touché par cela et offre une grande partie de son temps et de son argent a ceux qui vivent la meme chose que lui, mais souvent en plus il serait bien de respecter ce jeune homme, même si sa musique n’est pas au gout de de gens connaissent cette maladie, et c’est bien dommage, car elle est ****************** jenyLangue pendueNombre de messages 281Age 36Localisation 95, 02Date d'inscription 02/04/2006Sujet Re l'espoir d'une communauté. Lun 24 Avr 2006 - 1850 tu as raison de mettre se message. cette maladie peut erraiver a tt le monde. et elle est trsè désagreable a on peut critiquer ses chansons sa facon de chanter ou je ne sais quoi mais pas sa maladie. certes il a fait la star ac, ... mais chacun ses gout. mais dela a critiquer sa maladie NON. Soyer plus indulgent. manon ze fanMembre très actifNombre de messages 5661Age 28Localisation 49Date d'inscription 05/04/2006Sujet Re l'espoir d'une communauté. Lun 24 Avr 2006 - 1854 c'est vrai tu as raison et de toutes facon il en faut pour tous les gouts non?il y en a qui aime bien ilona!Quoi qu'il en soit même si il n'était pas malade ce n'est pas une raison pour faire des remarques blessantes sur lui! missjusoleilAccroNombre de messages 7584Age 32Localisation essonne 91Date d'inscription 31/01/2006Sujet Re l'espoir d'une communauté. Lun 24 Avr 2006 - 1941 deux personnes qui m'ont comprises....merci à vous, parce que cette maladie pourri la vie, et c'est dur tous les ****************** elonieLangue pendueNombre de messages 273Localisation metzDate d'inscription 06/04/2006Sujet Re l'espoir d'une communauté. Lun 24 Avr 2006 - 2112 c'est incroyable comment peux on se moquer dune maladie,je ne comprends pas ,pourquoi et comment peut-on etre aussi suis entierement daccord avec toi missjusoleil,ce nest pas parce quon naime ou napprecie pas quelqu'un qui faut etre intolerant!!la santé est ce que nous avons de plus precieux... LucieMembre très actifNombre de messages 3062Age 31Localisation 78!Date d'inscription 29/08/2005Sujet Re l'espoir d'une communauté. Lun 24 Avr 2006 - 2138 Ah non mais vraiment, ya vraiment des gens débiles sur Terre. Je ne suis pas particulièrement fan, mais je trouve que Grégory est quelqu'un de très courageux, qui mérite d'être le modèle pour beaucoup, hélas il y en a beaucoup, de malades. Merci à lui, et merci à toi pour ce message, tu as raison de faire passer le message. Jennydu78Membre très actifNombre de messages 1515Age 38Localisation 78Date d'inscription 30/12/2005Sujet Re l'espoir d'une communauté. Lun 24 Avr 2006 - 2149 Comment pt on arriver au point de se moquer d une maladie??? Y a des gens c vraiment du n importe quoi, certes je ne suis pas specielemtn fan, j ecoute seschansons sans plus, mais meme si les gens ne l aiment pas, ce ets pas une raison pour se autant plus que comme tu l as precise miss, Grgory donne enromement de son temps et de son argent aux gens atteints de la mmee maladie que avant de parler, reflechissez un minimum et dites vous que ca pt arriver a n imorte qui. davina_jacksonMembre très actifNombre de messages 5339Age 34Date d'inscription 21/01/2006Sujet Re l'espoir d'une communauté. Lun 24 Avr 2006 - 2150 Décidement des imbéciles il y en aura toujours!C'est lamentable de voir ca!J'ai connu quelqu'un il y a quelques années qui était atteint de la mucovicidose et qui est malheureusement décédé des suites de cette maladie a l'age de 21 je peut vous dire que vivre avec cette maladie n'est vraiment pas facile d'aprés ce que j'en ai être fan j'admire beaucoup Grérory lemarchal non seulement parcequ'il a une voix magnifique, mais également pour cette rage de vaincre et cette détermination qu'il garcon a beaucoup de merite. missjusoleilAccroNombre de messages 7584Age 32Localisation essonne 91Date d'inscription 31/01/2006Sujet Re l'espoir d'une communauté. Lun 24 Avr 2006 - 2211 ca fait plaisir de voir que quelques personnes sont du meme avis que moi, je vous mettrez le lien d'un blog, celui de lawry. celle qui ne pleurera pas, c'est qu'il y a un probleme !_________________ ****************** missjusoleilAccroNombre de messages 7584Age 32Localisation essonne 91Date d'inscription 31/01/2006Sujet Re l'espoir d'une communauté. Lun 24 Avr 2006 - 2259 voila un skyblog qui parle de la vie d'un malade de la mucoviscidose. mon copain est atteint de cette maladie, alors a tous ceux qui jugent les gens, mettez vous quelques minutes a nos places et a celle de skyblog doit etre lu en entier, sans passer de pages svp, vous comprendrez beaucoup ****************** Aariciamodérateur principalNombre de messages 3549Age 45Localisation GrenobleDate d'inscription 14/09/2005Sujet Re l'espoir d'une communauté. Lun 24 Avr 2006 - 2303 Merci pour le lien je le visiterai demain, promis! et pour ton message !Malheureusement, il y a des gens qui pensent que l'on peut rire de tout... parfois, la connerie atteint des niveaux de bassesse extrème..._________________ ¤¤ laurie33PipeletteNombre de messages 1340Age 33Localisation 77Date d'inscription 02/03/2006Sujet Re l'espoir d'une communauté. Mar 25 Avr 2006 - 106 je trouve ca quand mme irrespectueux envers ces personnes qui ont une maladie ! et moi juste pour a tu vois j'aierais bien qu'ils l'aient mais cen'est pas méchant juste une journée pour qu'ils voient ce que ca fait. peut être qu'ils ne verront pas la vie de la meme façon. juste pour une journée pour qu'ils comprennent ce que c'est. trinitysoleilLangue pendueNombre de messages 122Localisation AngersDate d'inscription 12/03/2006Sujet Re l'espoir d'une communauté. Mar 25 Avr 2006 - 910 merci pour ce message et ce lien, la France est de moins en moins tolérante par rapport aux personnes "différentes" que ce soit sur la "couleur" ou sur la "maladie".si grace a grégory, des enfants ou meme des adultes retrouvent le sourire et l'espoir moi je dis longue vie à lui!!!!les personnes qui se moquent non rien vécu, c'est de la méchanceté gratuite, ils ne diront plus la meme chose si leur père leur mère leur frère ou leur copine choppent une de ses saloperies...à bon entendeur salut!!et battez vous jusquau bout on es tous avec vous...bisous a tous missjusoleilAccroNombre de messages 7584Age 32Localisation essonne 91Date d'inscription 31/01/2006Sujet Re l'espoir d'une communauté. Mar 25 Avr 2006 - 1720 il n'y a pas a me remercier. mais je crois qu'aujourd'hui les gens ont bien changés, c'est chacun pour sa gue*** et c'est esperant que beaucoup de gens visiteront ce lien, car c'est un blog très beau, mais surtout qui nous parle de la vie telle qu'elle est ****************** MiMysoleilmodérateurNombre de messages 2954Age 31Localisation Tout près d'un Marchand de Rêves...Date d'inscription 29/10/2005Sujet Re l'espoir d'une communauté. Mar 25 Avr 2006 - 1727 Grégory... la première fois que je l'ai entendu chanter il m'avait mis des frissons... C'est quelque jours après que j'ai su qu'il était atteint de cette maladie... j'ai été très étonné... Il a donné beaucoup d'espoir a beaucoup de personne comme tu le dis, Il a fait preuve de beaucoup de courage!_________________Photos de Annso42 sur ma Bannière elonieLangue pendueNombre de messages 273Localisation metzDate d'inscription 06/04/2006Sujet Re l'espoir d'une communauté. Mar 25 Avr 2006 - 2101 missjusoleil a écrit voila un skyblog qui parle de la vie d'un malade de la mucoviscidose. mon copain est atteint de cette maladie, alors a tous ceux qui jugent les gens, mettez vous quelques minutes a nos places et a celle de skyblog doit etre lu en entier, sans passer de pages svp, vous comprendrez beaucoup merci enormenent pour le suis toute retournée ,merci encore.. missjusoleilAccroNombre de messages 7584Age 32Localisation essonne 91Date d'inscription 31/01/2006Sujet Re l'espoir d'une communauté. Mar 25 Avr 2006 - 2110 de rien c'est normal. mais surtout merci a toi de l'avoir ****************** missjusoleilAccroNombre de messages 7584Age 32Localisation essonne 91Date d'inscription 31/01/2006Sujet Re l'espoir d'une communauté. Mer 26 Avr 2006 - 1957 juste pour vous dire que l'affiche du concert a été taguée. il y a beaucoup de choses ecrites dessus, dont la phrase " rentre chez toi et tes squelettes".les mucoviscidistes sont souvent très maigres, et aparament cela deplait a certains....._________________ ****************** elonieLangue pendueNombre de messages 273Localisation metzDate d'inscription 06/04/2006Sujet Re l'espoir d'une communauté. Mer 26 Avr 2006 - 2039 missjusoleil a écrit juste pour vous dire que l'affiche du concert a été taguée. il y a beaucoup de choses ecrites dessus, dont la phrase " rentre chez toi et tes squelettes".les mucoviscidistes sont souvent très maigres, et aparament cela deplait a certains..... excusez du mot mais c'est degeulasse!!!c'est mechant...nous vivons vraiment dans un monde ou il ya de plus en plus intolerance... missjusoleilAccroNombre de messages 7584Age 32Localisation essonne 91Date d'inscription 31/01/2006Sujet Re l'espoir d'une communauté. Mer 26 Avr 2006 - 2137 tu as tout a fait raison......des gens " bien" ont carément étés enlevé l'affiche, parce que la ca devient du n'importe quoi. je deteste ****************** Contenu sponsorisé l'espoir d'une communauté.
Terminator, le retour [Terminé]Avant d'être fauché, Ethan adorait se rendre à diverses soirées. Il adorait ce genre de trucs ! Il faisait toujours des rencontres très intéressantes. Alors, ce soir, puisqu'il n'avait clairement rien de mieux à faire, Ethan avait réussi à prendre une douche dans une douche commune, et s'était habillé plus correctement que d'habitude. Il voulait vraiment s'incruster quelque part. Il était doué pour bluffer, mentir. C'est sans grand mal qu'il arrivera à cacher son statut du moment ! L'homme marche dans les rues qu'il commence à connaitre comme sa poche, à force d'y trainer. Les bars, les boites de nuit, ça ne le branche pas ! En plus c'est payant ! Il n'a vraiment pas que ça à faire, que d'utiliser son argent dans ce genre de au loin, il voit beaucoup de lumière, et entend du bruit. Il continue de marcher, curieusement. Apparemment, il a de la chance. C'est une sorte de réception à l'extérieur ! Ethan esquisse un sourire satisfait et avance en direction de l'endroit. Il y a un peu de monde, il n'aura pas de mal à se fondre dans la foule ! C'est très facile. Il s'intègre facilement. Alors, l'air de rien, il marche entre les personnes présentes, prend un petit four, au passage ! Se retenant de se jeter dessus, il balaye l'endroit du regard. Non vraiment, il n'avait rien de mieux à faire XD! Cependant, la mise en place était vraiment parfaite pour l'occasion, tiens xMalgré ça, il ne savait pas encore que terminator était de la partie aDernière édition par Ethan Williams le Jeu 18 Fév - 120, édité 1 fois Re Terminator, le retour [Terminé] par Audrey Parker Mer 17 Fév - 106La semaine est passée extrêmement vite, mais elle n'a pas encore son week-end de libre ! C'est samedi, et comme bien souvent, sa mère lui demande de venir pour l'aider. Elle a donc fait le traiteur une nouvelle fois, avec un menu qu'elle a proposé d'elle-même. Dans la cuisine, Audrey est vraiment douée ! Tellement qu'elle pourrait faire sa propre affaire ! Mais elle n'a pas le temps pour ça, trop surchargée avec ses trois sa petite blouse blanche, Audrey est vêtue d'une robe noire avec une ceinture rouge autour de sa taille. Comme chaussures, elle a opté pour des converses de la même couleur que sa ceinture XD Ca fait un véritable contraste, mais il fallait qu'elle soit à l'aise dans ses pompes ! Ses cheveux sont relevés et forment une queue assez haute, pour ne pas déranger ses plats. Quelques mèches tombent sur ses yeux joliment maquillés d'un crayon se tourne vers les plateaux qu'elle a apporté en se disputant avec sa mère, comme souvent. En se retournant avec le plateau en main, la jeune femme arque un sourcil, surprise. Tout en posant ce qu'elle tient en main sur le comptoir, elle ne quitte pas l'homme du regard et s'exclame Qu'est-ce que tu fous là, toi ?Demande Terminator, attendant une réponse. Audrey regarde les lèvres de l'inconnu, pour lire dessus et comprendre sa réponse. Sa mère se mêle à la tu pourrais parler autrement aux invités !Audrey !! Regarde-moi quand je te parle >< Arg ! Il soupire, alors que le serveur se confond en !C'est pas de votre faute, c'est elle XDLance Ethan en arquant un sourcil. Il esquisse un sourireVous me devez 20 dollars XD Sujets similairesPermission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
L’IRONIE chapitre 3 RAILLERIE ET ANTIPHRASE L’ironie dans la tradition rhétorique Dès l’antiquité, les rhétoriciens ont cherché à classer l’ironie parmi les tropes au sens étroit du terme où la signification d’un mot, d’une expression ou d’une phrase était supposée faire localement l’objet d’un transfert conceptuel. L’ironie était ainsi définie comme un trope d’opposition — désigné par la suite comme une antiphrase — consistant à exprimer quelque chose en signifiant le contraire, par pur effet de style. En attribuant dans ce cas au verbe dire le sens de signifier plutôt que d’affirmer, Cicéron soutient notamment que l’ironie dit le contraire de ce que l’on veut faire entendre et est très agréable dans un discours lorsqu’elle est traitée sur un ton, non pas oratoire, mais familier » 1971, 84. Le plus ancien témoignage d’une telle conception de l’ironie se trouve dans la Rhétorique à Herennius qui stipule qu’un trope traduit en latin par le terme de permutatio » peut instaurer une relation d’opposition contrarium » entre une signification primaire assimilée à une forme linguistique verbis » et une signification dérivée, ou figurée, sous-jacente à ce que le locuteur exprime sententia ». Les exemples proposés sont bel et bien des exemples d’ironie[1]Le texte précise encore, dans un passage non traduit par Le Guern, que la permutation serait fondée sur une opposition, par exemple, si l’on traitait ironiquement d’économe et de parcimonieux un prodigue et un dépensier » Rhétorique à Herennius, 1989, 189. J’ai préféré, lorsque cela était possible, citer les excellentes traductions proposées par Le Guern dans son article traitant de l’histoire de la notion d’ironie dans la tradition rhétorique. La permutation consiste à donner au fond un sens différent de la forme [Permutatio est oratio aliud verbis aliud sententia demonstrans]. Elle revêt trois aspects similitude, argument, opposition […]. Pour l’opposition, par exemple, nous appellerions Énée un homme impie qui aura frappé son père, Hippolyte un débauché et un adultère. Le Guern, 1976, 50 Cette conception de l’ironie comme figure de mot implique que le mot Énée signifie dans ce cas, par un transfert de signification, homme impie qui a frappé son père, que le mot Hippolyte signifie débauché et adultère ou encore, pour prendre un exemple qui ne soit pas assorti d’une antonomase, que les mots économe et parcimonieux signifient prodigue ou dépensier dans l’exemple cité en note. Une telle conception de l’ironie sera sans cesse reformulée dès Cicéron — pour qui les mots sont inversés quand Crassus, plaidant pour Aculéo […] contre Gratidianus dont l’avocat Aelius Lamia était, vous le savez, extrêmement laid, dit Ecoutons ce beau garçon » Le Guern, 1976, 51 — jusqu’à Dumarsais qui précise bien que les mots dont on se sert dans l’ironie ne sont pas pris dans le sens propre et littéral » 1988, 156. Dans les deux cas l’ironie est conçue comme une figure de mot consistant à inverser une signification littérale, associée à la forme linguistique d’un énoncé, de manière à instaurer ponctuellement une signification figurée qui soit adaptée à ce qui est exprimé. Après avoir postulé que l’ironie peut être un trope au sens étroit, en contrepoint à sa première définition illustrée par l’exemple de Crassus, Cicéron aborde l’ironie sous un autre angle en l’assimilant non plus à une figure de mot mais à une figure de pensée C’est une chose spirituelle encore que la dissimulation, quand on dit autre chose que ce que l’on pense, non pas selon cette catégorie dont j’ai déjà parlé, où l’on dit le contraire, comme Crassus à Lamia, mais en s’appliquant, par une raillerie continue, dissimulée sous un ton sérieux, à parler autrement que l’on ne pense […]. Fannius, dans ses Annales, dit que notre Émilien, le second Africain, excellait dans ce genre et l’appelle d’un mot grec eïron [l’ironique], mais, suivant ceux qui connaissent l’antiquité mieux que moi, je pense que c’est Socrate qui l’a emporté sur tous dans cette ironie et cette dissimulation par l’agrément et par la culture. Le Guern, 1976, 51 Pour Cicéron l’ironie semble donc tenir, soit à une antiphrase ponctuelle où simplement les mots sont inversés » dans l’expression de la pensée, soit à une raillerie continue, dissimulée sous un ton sérieux », consistant à exprimer autre chose que ce que l’on pense », à parler autrement que l’on ne pense ». Les mots conservent alors leur signification pour permettre au locuteur de railler, de se moquer de quelqu’un, apparemment en feignant de croire, de prendre à son compte une pensée que l’on rejette. Vers la fin du premier siècle, Quintilien propose une distinction analogue entre l’ironie considérée comme trope » et l’ironie considérée comme figure » L’ironie donc, considérée comme figure, ne diffère à peu près en rien, quant au genre, de l’ironie comme trope ; car, en l’une et en l’autre, il faut toujours comprendre le contraire de ce qu’on y dit. Mais si on les examine de près, on n’aura pas de peine à voir que ce sont des espèces différentes. Premièrement, le trope se laisse pénétrer plus aisément, et, bien qu’il présente un sens et en renferme un autre, ce dernier sens est moins déguisé car tout le contexte est à peu près au sens propre […]. D’où il suit en second lieu que le trope est aussi plus court. Dans la figure, au contraire, on feint tout à fait de penser ce qu’on ne pense pas, mais d’une manière qui est plutôt apparente que véritablement accusée là ce sont des mots pour d’autres mots, ici c’est un sens qu’on cache sous des mots qui en expriment matériellement un autre […]. La vie entière d’un homme peut n’être qu’une ironie continuelle, comme parut l’être celle de Socrate. Aussi l’appelait-on eïron, parce qu’il contrefaisait l’ignorant, et faisait semblant d’admirer les autres comme des sages. En un mot, de même qu’une métaphore prolongée devient une allégorie, de même une succession d’ironies qui, prises isolément, formeraient autant de tropes, constitue la figure de l’ironie. Le Guern, 1976, 52–53 Ainsi, selon Quintilien, en tant que trope l’ironie se réduit à une simple antiphrase, mais en tant que figure elle comprend une autre composante, par laquelle le locuteur feint tout à fait de penser ce qu’il ne pense pas ». En tant que figure l’ironie consiste à feindre d’adhérer à ce qui est exprimé dans le but d’une part de se moquer — Socrate contrefait l’ignorance et l’admiration naïve afin de railler celui qu’il prend pour cible — et d’autre part de communiquer sa propre pensée par antiphrase. L’ironie ne saurait alors être assimilée à une simple inversion de la signification des mots et des phrases puisqu’elle consiste avant tout à se moquer de quelqu’un en feignant d’adhérer et de chercher à faire croire à ce qui est précisément exprimé littéralement. Non seulement l’ironie ne se réduit pas à une simple antiphrase, mais cette dernière ne consiste pas dans ce cas à inverser la signification d’un mot ou d’une phrase de la langue. L’antiphrase ironique porte alors sur ce qui est exprimé littéralement dans un énoncé à l’aide de mots et de phrases dont la signification demeure tout à fait inchangée. Cette distinction entre l’ironie considérée comme trope et l’ironie considérée comme figure est à l’origine d’une question qui prend sa source à la fois chez Cicéron et chez Quintilien et que l’on retrouve sous diverses formes tout au long de la tradition rhétorique. Elle peut sommairement être formulée comme suit faut-il rapprocher l’ironie de la métaphore en la considérant comme un trope au sens étroit, comme une figure de mot » qui ne concerne précisément que la signification des mots sans toucher à la pensée du locuteur, ou faut-il considérer l’ironie comme une figure de pensée », analogue à l’allégorie, où le sens des mots reste inchangé mais où la pensée exprimée littéralement n’est pas réellement communiquée par le locuteur ? Comme le relève très justement Finlay, la tradition rhétorique nous lègue ainsi deux conceptions différentes de l’ironie, qu’il est nécessaire de continuer à dissocier We therefore have divergent tendencies within the rhetorical tradition which must be sorted out before we can derive any rhetorical or new- rhetorical theories and definitions of irony. For the former, the use of rhetorical irony would be conceived as a grammar of laws, figures or tropes making up a fixed syntactic and semantic structures […]. While for the latter an understanding of the pragmatic aspects of irony would lead to a conception of irony as a discursive act, invoking contextual positioning and communicational competencies. 1988, 12 A l’aube du XVIIème siècle, le Hollandais Vossius associe ces deux conceptions antagonistes de l’ironie aux approches opposées de ceux qu’il appelle les rhétoriciens » et les écrivains » Les rhétoriciens semblent utiliser ce terme autrement que les écrivains. Pour ces derniers en effet, l’ironie c’est la dissimulation [dissimulatio], l’art de dérober sa pensée [dissimulantia]. Cicéron, en effet, traduit le terme grec d’eïroneïa par ces deux termes, il nous atteste également que si Socrate a été surnommé eïron, c’est parce que, dans l’art de dérober sa pensée, il surpassait de loin tous ses contemporains en esprit et en culture. […] Mais pour les rhétoriciens, il y a ironie quand, au travers de ce que nous disons, nous signifions le contraire. 1978, 498 Selon Vossius, les rhétoriciens » défendent une conception de l’ironie comme figure de mot alors que les écrivains » la conçoivent comme l’art de dérober sa pensée derrière ce qu’on exprime », c’est-à- dire, selon Cicéron notamment, à parler autrement que l’on ne pense », à exprimer une pensée que l’on ne prend pas réellement à son compte[2]Ce sera également, beaucoup plus proche de nous, l’approche des romantiques allemands, dont Friedrich Schlegel, qui conçoivent l’ironie comme le principe même de la littérature, puisqu’elle permet à l’auteur de se détacher, de s’élever au-dessus de ce qui, dans l’oeuvre, est forcément conditionné par la nécessité de laisser libre cours à l’enthousiasme et à l’imagination du narrateur ou du héros.. La notion de trope au sens étroit, appliquée à un transfert conceptuel, ayant été exclue d’entrée de jeu de nos considérations, c’est à une conception de l’ironie comme figure de pensée — telle que la conçoivent, selon Vossius les écrivains » de la tradition rhétorique — que nous allons nous référer dans cette étude. C’est à une figure de pensée et non de mot que nous allons assimiler l’ironie. La conception de ceux que Vossius appelle rhétoriciens » ne permet en effet de décrire, ni le procédé de l’ironie dans toute sa complexité qui consiste notamment à mettre en jeu une forme de raillerie, ni le procédé de l’antiphrase en particulier[3]Une telle conception ne convient qu’à certaines ironies complètement lexicalisées comme c’est du joli, excusez-moi du peu, mais en aucun cas à l’ironie vive ou vivante au sens de Ricoeur, 1975, où les mots conservent leur signification.. Ainsi chez Dumarsais, par exemple, l’ironie ne consiste nullement à exprimer une pensée que l’on juge erronée, de manière à la fois à se moquer de quelqu’un et à communiquer indirectement une pensée contraire. Elle consiste à exprimer la pensée du locuteur en inversant simplement la signification de certains mots employés ironiquement. Non seulement l’ironie est ainsi purement et simplement antiphrase mais cette antiphrase n’a pas pour objet une pensée, de forme propositionnelle, correspondant à ce qui est exprimé dans l’énoncé. L’antiphrase porte alors sur une forme conceptuelle associée à un mot ou à un groupe de mots à l’intérieur d’une phrase L’ironie est une figure par laquelle on veut faire entendre le contraire de ce que l’on dit ainsi les mots dont on se sert dans l’ironie, ne sont pas pris dans le sens propre et littéral. Boileau, qui n’a pas rendu à Quinault toute la justice que le public lui a rendue depuis, a dit par ironie Je le déclare donc, Quinault est un Virgile. Il voulait dire un mauvais poète. 1988, 156 Il est intéressant d’observer que Fontanier prend la peine, avant de soutenir que l’ironie est bel et bien notamment une forme de raillerie, de reprocher à Dumarsais sa définition de l’ironie comme antiphrase — définition non seulement incomplète mais surtout qui exclut, dans sa formulation même, toute espèce d’amendement Cette définition ne présente-t- elle pas une sorte de renversement d’ordre dans les idées ? Ne semble-t- elle pas supposer que le contraire de ce qu’on dit doit être entendu avant qu’on le dise, ou, ce qui revient au même, qu’on veut faire entendre presque avant que de dire ? Par conséquent, ne semble-t-elle pas supposer que l’effet de la figure précède la figure ? Il eût été, si je ne me trompe, plus naturel et plus exact de dire que l’ironie est une figure par laquelle on dit le contraire de ce qu’on veut faire entendre. C’est la définition que donne l’Académie, et on la retrouve dans presque toutes les rhétoriques. Cependant je crois que cette définition est encore incomplète, […] il me semble que ce qui fait le caractère particulier de l’ironie, c’est toujours une sorte de raillerie ou plaisante ou amère, et qu’ainsi on donnerait une idée un peu plus exacte de cette figure, si on disait qu’elle consiste à dire, par manière de raillerie, tout le contraire de ce qu’on pense ou de ce qu’on veut faire penser aux autres. 1967, 199–200 Pour expliquer en quoi consiste la raillerie ironique, Fontanier juge nécessaire de préciser qu’avant de faire entendre le contraire de ce qu’il dit, l’ironiste commence par exprimer une pensée qu’il ne prend pas réellement à son compte. C’est à partir de là qu’il est à la fois en mesure de railler et de communiquer sa propre pensée par antiphrase[4]Je rappelle que Fontanier conçoit l’ironie, de même que par exemple l’allégorie et l’hyperbole, comme un trope improprement dit » qui ne tient pas aux mots mais au discours », et s’oppose ainsi aux tropes proprement dits » que sont à ses yeux la métaphore et la métonymie.. Dans un article de L’Encyclopédie, Beauzée s’opposait déjà fermement à Dumarsais, à propos du même exemple de Boileau, en insistant sur le fait que l’ironie n’est pas une figure de mot mais une figure de pensée. Ses commentaires à ce sujet annoncent la position qui sera défendue dans cette étude Quintilien distingue deux espèces d’ironie, l’une trope, l’autre figure de pensée. C’est un trope, selon lui, quand l’opposition de ce que l’on dit à ce que l’on prétend dire ne consiste que dans un mot ou deux. […] C’est une figure de pensée lorsque, d’un bout à l’autre, le discours énonce précisément le contraire de ce que l’on pense. […] La différence que Quintilien met entre ces deux espèces est la même que celle de l’allégorie et de la métaphore. N’y a‑t-il pas ici quelque inconséquence ? […] M. du Marsais, plus conséquent, n’a regardé l’ironie que comme un trope, par la raison que les mots dont on se sert dans cette figure ne sont pas pris, dit-il, dans le sens propre et littéral mais ce grammairien ne s’est-il pas mépris lui-même ? Les tropes, dit-il, sont des figures par lesquelles on fait prendre à un mot une signification qui n’est pas précisément la signification propre de ce mot ». Or il me semble que dans l’ironie, il est essentiel que chaque mot soit pris dans sa signification propre, autrement l’ironie ne serait plus une ironie, une moquerie, une plaisanterie, illusio », comme le dit Quintilien. Par exemple, lorsque Boileau dit Quinault est un Virgile, il faut, 1° qu’il ait pris le nom individuel de Virgile dans un sens appellatif pour signifier, par antonomase, excellent poète ; 2° qu’il ait conservé à ce mot ce sens appellatif que l’on peut regarder en quelque sorte comme propre relativement à l’ironie. […] Ainsi le nom de Virgile est pris ici dans la signification que l’antonomase lui a assignée, et l’ironie n’y fait aucun changement. C’est la proposition entière, c’est la pensée qui ne doit pas être prise pour ce qu’elle paraît être ; en un mot, c’est dans la pensée qu’est la figure. 1967, 906–907 Après avoir reproché à Quintilien quelque inconséquence » à vouloir traiter l’ironie à la fois comme un trope au sens étroit et comme une figure de pensée, Beauzée s’en prend alors à Dumarsais qui, pour être plus conséquent de n’avoir regardé l’ironie que comme un trope » au sens étroit, comme une figure de mot, ne se méprend pas moins gravement puisque l’ironie doit au contraire être assimilée à une figure de pensée. Selon Beauzée, si l’ironie est moquerie », plaisanterie », c’est en vertu de la prise en charge simulée — et cependant bel et bien revendiquée — de ce qui correspond à une pensée exprimée littéralement et c’est par conséquent sur cette pensée que va porter l’antiphrase. Dans cette perspective, d’une part l’ironie ne se réduit pas à une simple antiphrase puisqu’elle consiste également à railler celui qu’elle prend pour cible, et d’autre part cette antiphrase n’est pas conçue comme un procédé touchant à la signification d’un mot ou d’une phrase. Beauzée souligne très explicitement que l’antiphrase ironique ne consiste aucunement à inverser le sens des mots. L’ironie ne procède en rien, selon Beauzée, d’une figure de mot consistant à employer un mot ou un groupe de mots pour un autre, avec une autre signification, mais d’une figure de pensée consistant à prétendre dire une chose et à vouloir en dire une autre.
Le registre soutenu est le registre le plus correct, le plus précis et le plus choisi. Il permet d’affiner la pensée, d’entrer dans la nuance et favorise la créativité. En complément de nos deux précédents articles, nous avons sélectionné 160 noms et verbes à la précision chirurgicale ». NOMS MotSignificationaboulieperte de vitalité d’un groupe social, d’une nationaccointancerelation, liaison avec d’autres personnes, un milieuacrimoniecaractère agressif de quelqu’un, dans l’humeur ou l’aigreur de langageaffabulationmanière purement imaginaire de présenter des faitsaffresangoissealacritévivacité et enjouementaménitépolitesse, affabilité qui charmeantécédencepréexistence par rapport à quelque chose, antérioritéantiennerépétition continuelle et lassante de quelque choseaphorismephrase qui résume en quelques mots une vérité fondamentaleapologétiquepartie de la théologie qui a pour objet de démontrer la crédibilité rationnelle et historique du dogmeaporiecontradiction insoluble qui apparaît dans un raisonnementapostatpersonne qui abandonne une doctrine, une opinionarcadiesociété idéale qui vit dans le bonheur et l’innocenceargutiesubtilité de langage, raison qui dissimule l’absence d’arguments sérieux au pluriel surtoutatavismeensemble de traits de caractère transmis par les ascendantsatoniedéfaut d’énergie, de vitalitéavanieaffront public, traitement humiliant, brimade, vexationbadinageplaisanterie légère, divertissement puéril Mot Significationbilleveséepropos vide de sens, sottiseBovarysmecomportement d’une femme que l’insatisfaction entraîne à des rêveries ambitieuses pour compenserbravademanifestation, démonstration de bravourecabotinpersonne qui manque de naturel, dont les attitudes, les manières sont trop étudiées et théâtralescaciquepersonnalité politique, … qui, en raison de ses fonctions, exerce un pouvoir ou une influence sur un groupecapharnaümpièce qui comporte un amas d’objets en désordrecastillepetite querelle sans importance qui survient entre deux personnescasuistiqueargumentation subtile destinée à masquer la vérité, disposition pour transiger avec sa consciencecénaclecomité restreint, cercle de gens de lettres ou d’artistescénotaphemonument élevé à la mémoire d’un mort et qui ne contient pas ses resteschantrepersonne qui glorifie, loue quelqu’un ou quelque chosecirconspectionprudence qui incite à ne négliger aucune circonstance avant d’agir ; précaution, réservecossardun paresseux, un fainéantcoteriegroupe de personnes qui se soutiennent pour faire prévaloir leurs intérêtscourtaudpersonne de taille courte et ramasséedémiurgepersonne qui crée quelque chose d’importantdépravépersonne pervertie, détournée du bien, des disposition moralesdéprédationvol ou pillage ; malversation dans une administration au pluriel surtoutdérélictionsentiment d’abandon et de solitude moraledesideratace que l’on souhaite voir se réaliser, souhaits et vœux seulement au plurieldésuétudecaractère abandonné d’une chosediatribecritique très violentedogmatismeposition catégorique, qui rejette le doute et refuse la critique, qui est fermé à toute discussiondoxaensemble des opinions communes aux membres d’une société, relatives à un comportement socialdyarchierégime politique dans lequel le pouvoir est exercé conjointement par deux personnes ou deux groupes Mot Significationemphasegrandiloquence, enflure ; emploi excessif ou inopportun de la déclamation, d’un ton pompeux, d’un style élevéépigonesuccesseur, dans un parti, une école littéraire, philosophique, …épuredessin fini, par opposition au croquisesthètepersonne pour qui la beauté de l’art est une valeur primordiale, essentielle; qui prône le culte du beau au détriment de toute autre valeurétiagele plus bas niveau d’un cours d’eauexégèseexplication philologique, historique ou doctrinale d’un texte obscur ou sujet à discussion. Interprétation et commentaire détaillésfacétieaction, parole ou écrit qui a quelque chose de bouffon, de burlesque. Espièglerie, farceforfaituremanquement grave à une parole donnée, à son devoir, trahison de la confiance d’autruiforfanteriecaractère d’une personne qui se montre impudemment vantardefrimasbrouillard froid et épais, qui se glace en tombantfrondaisonépoque où apparaît le feuillage d’un arbre, d’une plantegageureaction, projet peu croyable, ressemblant à un parihagiographiebiographie excessivement élogieusehinterlandrégion desservie par un port, une voie navigableiconoclastequi est ennemi de toute tradition, qui cherche à faire disparaître tout ce qui est le passéidiosyncrasiemanière d’être particulière à chaque individu qui l’amène à avoir tel type de réaction. Comportement qui lui est propreimbrogliosituation confuse et d’une grande complexitéimpondérableélément imprévisible qui influe sur les événementsimprécationmalédiction proférée contre quelqu’un ; parole ou souhait appelant le malheur sur quelqu’uninanitionprivation d’alimentsindigenceétat de pauvreté intellectuelle MotSignificationineptieaction ou parole stupide, acte sotintelligentsiaensemble des intellectuels d’un pays quelconquelanderneau petit monde », dans le sens d’une communauté de taille suffisamment réduite pour que tout le monde se connaisselogomachiequerelle de mots, discours oiseux qui ne mène à rienlogorrhéebavardage intarissable et oiseux; besoin irrésistible de parler, observé dans les états d’excitation de certaines affections mentaleslonganimitéindulgence qui porte à pardonner ce qu’on pourrait punirlouvoyernaviguer en zigzag pour utiliser un vent contraire ; prendre détours pour un butmadrigalcompliment d’une galanterie affectéemaestriaaisance, perfection dans l’exécution d’une oeuvre d’art, dans la réalisation de quelque chosemalignitéméchanceté mesquinemansuétudedisposition d’esprit qui incline à une bonté indulgentemélodramesituation artificiellement tragique, qui cherche exagérément à frapper la sensibiliténépotismeabus de quelqu’un qui use de son autorité pour procurer des avantages aux gens de sa familleobjurgationvive remontrance, mise en garde sévèreoboletrès petite somme, petit secours en argent, offrande de peu d’importanceombilicpoint central, nombrilopiniâtretévolonté, persévérance tenace, acharnement, obstinationornièretrace creusée dans le sol des chemins par les roues des voituresosmoseinfluence réciproque, interpénétration. Par exemple, entre deux chrétien par rapport à son pasteur. Désigne la impératif, décision arbitraire et sans appeloutrecuidanceconfiance excessive en soi-même, désinvolture à l’égard des autres MotSignificationpamphlétaireauteur de pamphletspanacéeremède prétendu universel contre tous les maux, capable de résoudre tous les problèmespanthéismetout ce qui existe est identifié à Dieu. Dieu est manifesté dans toute la natureparangonpersonne prise comme modèlepensumtravail long, ennuyeux, péniblephraséologieensemble des expressions propres à une langue, un individu, une époque, à un milieu ou à un groupe socialpierre d’achoppementdifficulté, obstacle sur lesquels on butepis-allersolution à laquelle il faut recourir, faute de mieuxploutocratiesystème dans lequel le pouvoir politique est dévolu aux détenteurs de la richesseponantappellation de l’occident, par opposition au levantponcifbanalité, thème stéréotypéprimatprimautéprocrastinationtendance à remettre les choses à plus tardréminiscencesouvenir vague ou incomplet, difficile à localiserripaillerepas où l’on mange et où l’on boit avec excèsrodomontadeattitude prétentieuse et ridiculerustaudpersonne qui manque de finesse, de raffinement, d’éducationsacerdocefonction particulièrement respectable en raison du dévouement à l’égard d’autrui qu’elle exigeséditioncomplot, mouvement insurrectionnelséidefanatique qui obéit aveuglément à un chef, sinécure, emploi fortement rémunéré pour très peu de travail MotSignificationsublimationtransformation des pulsions en des sentiments élevés, en des valeurs generisd’un genre propre, spécifique, qu’on ne peut comparer à d’autressujétionétat de quelqu’un, d’un groupe soumis à un pouvoir, à une autorité arbitraire et contraignantesusurrementaction de susurrer. Bruit de ce qui susurresybaritepersonne qui aime le luxe, le raffinement en matière de plaisir, le confort dans la vie ou la pensée ou qui y est habituésyncrétismecombinaison de doctrines initialement incompatiblestartufferiehypocrisie, fourberiethébaïdelieu isolé, propre à la méditationthuriférairepersonne qui loue, vante quelqu’un ou quelque chose avec excèstorpeurralentissement général des manifestations de la vietransfugesoldat qui déserte et passe à l’ennemi. Personne qui abandonne un parti, une doctrine pour se rallier à une autretrépidationvive agitation, forte animationtruchementporte-parole, ce qui traduit les sentiments, interprètetruismeaffirmation évidente, banale, sans portéeuchronierécit de fiction qui repose sur des conséquences imaginaires tirées de faits réels, histoire alternativeurbanitépolitesse, courtoisie, vade-mecum, guide, manuel que l’on garde avec soi pour le consulterverbiageabondance de paroles vides de sens ou qui disent peuverveinspiration vive et chaleureuse, imagination créatriceviatiquece qui aide et soutient pour les besoins de l’existencevicissitudesuccession d’événements bons ou mauvais. Ensemble d’événements malheureux affectant l’existence humainevulgateidéologie, courant de pensée vulgarisé, à l’usage du plus grand nombre zélateurpersonne qui montre un zèle ardent, le plus souvent intempestif VERBES MotSignificationabsoudrepardonner la faute de quelqu’un, l’en excuserachopperêtre arrêté par un obstacle, une difficultéadjurerprier, supplier quelqu’un de faire de quelque chose, le conjurerapposerappliquer quelque chose sur quelque chosebadinerplaisanter, prendre à la légèredéfalquerretrancher, déduire quelque chose d’un totalergotercontester quelque chose avec des raisonnements fallacieux ou chicaneursêtre en vervemanifester avec éclat son esprit; être particulièrement inspiré, brillantfomenterexciter des actions, des sentiments violents et destructeursimmolerfaire périr quelqu’un ou un groupe, concourir à la mort, au massacre d’un grand nombre de personnesjeter son dévolu surarrêter son choix sur la chose en question et avoir la ferme intention de l’obtenirse réserver la part du lionse réserver la plus grosse part dans un échange, un accord, …lancinertourmenter quelqu’un de façon persistantemorigénerréprimander quelqu’un en lui faisant une leçon de morale, sermonnernimberentourer quelque chose d’un halo, de lumière MotSignificationobéreraccabler quelqu’un, quelque chose d’une lourde charge financièreoblitérerfaire disparaître, effaceropineracquiescer à quelque chose, l’approuverourdirpréparer, agencer avec habileté les premières mesures qui permettront de mener à bien une entreprisepersiflerse moquer, parler avec ironie, tourner en dérisionravirenlever, emporter quelqu’un, quelque chose lié à quelqu’un en usant de force, de violence ou de rusesemonceradresser des reproches à quelqu’un, réprimanders’infatueravoir une trop bonne opinion de soi-mêmesubodorerflairer, anticiper, pressentir, devinersubvertirbouleversersurseoirreporter une action, une décision à plus tardtaraudertourmenterthésaurisermetre de l’argent de côtévaticinerfaire des prédictions, prophétiser l’avenir, délirer sur l’avenir en se prenant au sérieuxvilipendertraiter avec beaucoup de mépris Citation sur la langue française “Que serait la francophonie si personne ne parlait français ?”François Mittérand Articles similaires Et si on s’exprimait en français soutenu 100 adjectifs soutenus à connaître et utiliser Et si on s’exprimait en français soutenu 112 mots à connaître et à utiliser
phrase ironique pour se moquer de quelqu un